Pourquoi ?

A 19 ans, je suis encore aux études mais je travaille le soir pour payer mes courses. Je vis pour la moto et j’aime ça.
C’est ma première saison officielle et aussi ma première présence à Mettet.

J’ai participé à 3 courses en supermotard. C’est amusant même si les résultats ne suivent pas.
Je peux faire mieux car j’ai commis des erreurs et je tombe beaucoup.

Quand je suis à moto, je suis heureuse. A 16 ans, j’ai acheté une mob 50CC et j’ai rencontré un copain sur les circuits.
Lui roule à moto et c’est ainsi que ma passion est née.

J’ai 24 ans et je viens de Bièvre. Depuis 2011, je roule en supermotard et je participe au Superbiker. J’ai raté l’édition 2013.

Je participe au championnat de Belgique en catégorie ‘Prestige’. L’an dernier, je termine neuvième. Cette année, une blessure m’a empêché de rouler mais j’assouvis ma passion quand même.

A Mettet, le circuit me plaît. Et comme j’aime rouler sous la pluie, mes chronos sont bons.

Mettet et son Superbiker, j’y participe avec un grand plaisir.

Cette année, je fais le choix de m’inscrire en Supermoto. Ainsi, je roule plus et j’ai plus d’attaque avec la moto.

Ce vendredi, je fais de bons temps, le premier dans ma catégorie. La moto Yamaha me donne entière satisfaction et c’est super pour moi.

En 2017, j’ai réalisé des projets professionnels et mis de côté la compétition.

Je suis à Mettet pour préparer la saison 2018 avec le team ‘Les 2 roues’, team parisien avec lequel je devrais participer au championnat de France l’an prochain. Il se déroule sur 8 courses.

Mettet est un rendez-vous important pour moi. C’est mon ‘patron’, Freddy Tacheny, qui organise.

De plus, je veux être présent pour tous mes fans belges. Et je viens aussi pour m’amuser.

Je suis un peu déçu de ne pas rouler avec les ‘grands’. J’aurais préféré mais je dois attendre mes 15 ans, encore 2 ans.

Bientôt, je participe à une belle opportunité : les éliminatoires pour la ‘Red Bull Rookies Cup’, sur le circuit d’Almeria en Espagne.

Quinze pilotes seront choisis parmi environ 250 participants.

Si je me qualifie, je suis le championnat Moto GP, mais en Europe uniquement soit 10 ou 11 GP. Je suis confiant.

Si non, je vais en FIM CEV. C’est un championnat aussi rapide que le Mondial avec les mêmes motos.

Je suis de retour à Mettet avec énormément d’émotion. Revoir Gérard Delépine, Fred Fiorentino, des gars avec qui je me suis battu tout au long de ma carrière, c’est émouvant.

Aujourd’hui, c’est sans pression, c’est vraiment pour s’amuser, le plaisir avant tout. Je trouve cette idée super, géniale. J’espère une suite dans le futur.

Je suis journaliste pour Sport Moto belge et je participe à cette initiative intéressante : ’Press Ladbrokes Superbiker’.

C’est ma première expérience en compétition moto. Je suis très agréablement surpris, malgré le tracé pas facile et les conditions peu favorables pour un novice.

Ma passion pour la moto s’exprime sur route et sur circuit.

A Mettet pour cette course de journalistes, j’éprouve beaucoup de plaisir même si physiquement, c’est très dur.

Nous sommes commissaires depuis 1990. Nous allons à Mettet, Francorchamps et surtout en France. Nous avons commencé avec les compétitions ‘voitures’ et après, les ‘motos’.

Nous avons ainsi l’occasion de belles rencontres. Aux 24 H. du Mans, Vanina et Jacky Ickx. Sur le circuit de Francorchamps, Didier de Radiguès à moto.

Notre ami français vient nous aider depuis Boulogne-Billancourt. La moyenne d’âge des commissaires est très élevée. C’est dommage l’absence de relève par les jeunes.

Le Superbiker à Mettet, c’est d’abord une grande fête familiale.

C’est aussi le rassemblement des pilotes de plusieurs disciplines en fin de saison, la rencontre des anciens et des nouveaux jeunes, le rassemblement de tous les amoureux du supermotard, de la glisse, dans une ambiance très chaleureuse.

Sur la piste, c’est toujours la compétition. Mais après, c’est un moment particulier.

En 2012, je viens à Mettet pour le Superbiker. Aujourd’hui, je participe pour la cinquième fois. J’aime beaucoup le circuit et la course.

« Very good feeling ».

A 30 ans, le Superbiker à Mettet, c’est d’abord s’amuser et surtout mettre la pâtée aux garçons. Je veux profiter de l’ambiance.

Le quad n’est pas une tradition familiale, c’est ma propre volonté. J’ai roulé en 660cc, puis en 700cc et maintenant, en Superquader 450cc.

Je pratique le quad depuis un an. J’ai débuté en randonnée et cette saison, la compétition à Francorchamps, Bilstain, Florennes, Chimay. Le championnat compte sept courses et je termine 29ième sur 41 participants.

Tout ce qui m’empêche de terminer est un mauvais souvenir, une casse ou une chute.

J’apprécie les participations aux compétitions, les déplacements et l’excellente ambiance au sein du team (GTINO).

Nous sommes dix pilotes officiels, avec une seule fille. C’est vraiment ‘bon esprit’ avec les garçons expérimentés qui nous conseillent.

Quant à être la fille au milieu des hommes, j’ai l’habitude avec mes deux grands frères.

Eux roulent à moto et refusent de m’initier. Donc, je suis venue au quad.

Cette saison, je l’ai consacrée au supermotard, Francorchamps, Florennes, Bilstain. J’ai participé aussi à la Chinelle.

Plus de motocross car mon activité professionnelle ne me laisse plus de temps pour cela.

Cette victoire à Mettet le dimanche matin, c’est finir en beauté. Le Superbiker représente toujours autant de plaisir et c’est mieux encore avec une victoire et plus de trente garçons derrière moi.

Moi aussi, j’aime mettre la pâtée aux garçons.

Ma dernière victoire à Mettet date de 2013. Comme je préfère la piste humide, hier, j’ai fait la danse de la pluie. Et s’il n’a pas plu, je gagne quand même.

Depuis novembre 2016, je travaille comme un fou pour préparer un nouveau quad avec un gros moteur. Mais ça traîne. Le châssis est sablé depuis fin août. Je consacre des nuits entières à le terminer.

Après les maladies de jeunesse, la pompe à essence casse. Comme c’est un modèle rare, je ne trouve pas rapidement ce qu’il me faut et je dois abandonner mon projet pour le Superbiker 2017.

Je reprends mon vieux quad qui a roulé l’an passé, quad qui a presque 10 ans. Il m’a sauvé la vie et c’est avec lui que je gagne.

Je suis resté longtemps en deuxième position, la pression est très importante. Finalement, je dépasse le premier par un ‘block pass’, un passage à la ‘Cluydts’.

J’ajoute que, depuis dix ans, je me bats avec la même machine contre des gros moteurs à Mettet.

L’an prochain, je reviens avec MON gros moteur.

Pour la première fois l’an dernier, je suis venu à Mettet et j’ai trouvé l’ambiance très sympa, différente de ce que je connais habituellement.

Les fans du supermotard découvrent aussi le freestyle, surtout en Belgique où je viens rarement.

Ce week-end, je présente une figure assez difficile et c’est pour la réaliser que deux rampes sont acheminées du sud de la France.

Ma passion impose beaucoup de voyages à l’étranger. Cette année, moins souvent car une blessure a nécessité une opération à l’épaule en mars.

Je suis de retour depuis juillet et c’est reparti avec le Japon la semaine prochaine.

Notre sport présente bien des dangers, surtout à cause du vent latéral.

Réalisez que la hauteur du saut varie entre 8 et 12 M. et que la longueur peut atteindre 23M. !!!

La garde canine veille,

Les suspects sont connus,

Les merveilleux fous volants sur leur drôle de machines sont présents,

Le dépaysement est garanti,

Le marchand de crèmes glacées italiennes arrive en tricycle Ferra…Rosati,

Pamela AndersClaudy vous accueille,

N’hésitez plus et comme dit dans cette région de capsules bleues,

* Venez !

Nos photos.