75 ans mais pas une ride, la Mercedes Classe E 200 Coupé.

Dimitri Haulet, Philippe Haulet    2021-01-14 17:20:24   

A près de 75 ans, la Classe E n’est pas une petite jeune au sein de la marque étoilée.

Avec plus de 14 millions d’exemplaires vendus, elle est aussi un modèle emblématique.

Après 4 ans de service, la Classe E reçoit une mise à jour esthétique mais aussi technologique.


L’occasion pour moi de découvrir cette version Coupé … qui a la Classe Euh.

😯


Design.

La ligne est simplement une pure réussite avec des proportions bien équilibrées, des rondeurs là où il faut.

L’absence de montant central fluidifie son rendu visuel.


L’évolution esthétique est légère avec la face avant plus agressive, plus pointue. Le capot acéré plonge vers la calandre trapézoïdale et diamantée de cette version AMG Line.


Les feux arrière plus fins sont plus ’étirés’ sur le coffre.


Du côté de l’habitacle.

Des petites innovations enrichissent l’habitacle de cette Classe E : de nouvelles couleurs ainsi qu’un nouveau volant à 5 branches sur la version AMG Line, doté de la technologie capacitive (détection des mains).


De série, elle est équipée de 2 écrans de 10,25’’ juxtaposés.

En option, vous pouvez voir plus grand, avec 2 écrans de 12,3’’. Ils adoptent une nouvelle commande tactile moins sensible aux empreintes de doigts.

Les sièges offrent un confort à toute épreuve, moelleux et enveloppant à la fois grâce au pack ENERGIZING.


Mercedes Energizing.

Sous le capot.

Le plus gros changement dans la gamme est l’arrivée, pour la première fois, des versions hybrides rechargeables aussi bien pour l’essence avec la version E300e que pour le diesel avec la E300d.


J’essaye durant quelques jours la E200, version essence d’entrée de gamme équipée de l’hybridation légère ISG à 48V.

Elle se loge dans la boîte de vitesse automatique et apporte un boost de 14 ch. et de presque 200 Nm.

Avec une puissance de 200 ch. et la boîte automatique à 9 rapports, la vitesse maximale est de 237 km/h et le 0 à 100 km/h est avalé en 7,6 secondes.

On the road.

Sans trop de surprise, cette Classe E est une ode au confort. Les routes dégradées belges me semblent lissées, limite agréables.


Elle se conduit en douceur et en souplesse.

Les passages de rapports s’enchaînent sans aucune vibration, un exemple de douceur et de précision.

Le bloc 4 cylindres se révèle discret, à peine audible dans cet habitacle feutré.

En revanche, les vocalises seront plus présentes à l’approche de la zone rouge.

Des notes moins chantantes que celle du mélodieux 6 cylindres.


Son poids de plus de 1750 kg se ressent dans la conduite, clairement axée sur le confort et non la sportivité.

In Fine.

La Classe E s’améliore encore. Une esthétique plus vive, des innovations technologiques la confortent en haut de l’affiche.


L’hybridation légère prend place pour toutes les motorisations essence et améliore encore un peu plus le plaisir de conduite tout en diminuant légèrement votre consommation.

Les + :

 Qualité des finitions.
 La Classe.
 Confort.
 Technologie de pointe.
 Insonorisation.

Les – :

 Accessibilité places arrière (Coupé).
 Poids.

Dimitri Haulet.

Nos photos.

Mercedes E.

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