Neige & Glace, et le mythe continue !

Bob d’Automag    2005-02-25 00:00:00   


Les berlinettes du team Comas attirent toujours autant les regards, comme à l’époque.

Le Neige & Glace est un rallye qui est apparu il y a plus de 50 ans, mise en place par l’Automobile Club Dauphinois, c’était une épreuve aussi réputée et incontournable que le Monte Carlo. Le département de L’Isère accueillait les équipages, qui y trouvaient les joies si particulières du pilotage sur neige. Mais, je me surprend de parler au « passé »... erreur, le Neige & Glace est toujours bien vivant, même si ce rallye a bien failli passer aux oubliettes, il nous est revenu sous la forme d’une épreuve historique. Et les organisateurs Viviane et Patrick Zaniroli ont donné un souffle nouveau à cette page de l’histoire sportive automobile. Le Neige & Glace est aujourd’hui bien réincarné, et l’édition 2005 n’a fait que consolider l’engouement qu’il avait déjà suscité lors de son 50ème anniversaire en février 2004 dernier.

Le team belge Racing Old d’Alexandre Pilette alignait 3 Porsche 911S très bien préparées.

De 1954 à 2005, avec ses monstres de l’époque, le Neige & Glace est devenu rallye de régularité. La différence ? L’âge des bolides inscrits produits entre les années 30 et 1975. Et l’ouverture intégrale des routes puisque les épreuves spéciales faites de vitesse pure sont devenues des secteurs de régularité sur lesquels il convient d’approcher au plus près une moyenne imposée entre 40,45 et 50 km/h.

La passion du mythe... une histoire belge ?

Jean-Michel Martin et la Porsche 356, ou les plaisirs de la glisse.

Ils sont nombreux, les concurrents amateurs d’émotions et de gloire qui veulent revivre les joies du rallye des années 60. Et en regardant de plus près la liste des engagés, on se rend compte que certains noms très connus sont revenus ici à la recherche de cette ambiance particulière du sport automobile d’une époque ou l’on savait encore associer compétition et convivialité. Et puis bien sûr, tous sont venus ici pour le plaisir des routes blanches et libérer l’art de piloter sur la neige.

Les belges du Classic Club Dinant, Thierry Quinot et Jean-Pierre Ansiaux avec la Volvo Amazone.

Vous le savez bien, les belges sont friands de rallyes historiques, et les multiples organisations dans notre pays sont les meilleures écoles de préparation à la régularité. Ce n’est pas étonnant donc de voir que 1/3 des participants viennent de notre petite Belgique ! Pourtant la concurrence sera rude, elle vient de France bien sûr, mais aussi d’ Angleterre, de Suisse, Allemagne, Autriche et Luxembourg.

Les Porsche de Racing Old enfilent les épingles les unes après les autres...

Chez nous, dans les ateliers de Racing Old, les mécanos d’Alexandre Pilette ont travaillé très tard pour terminer la préparation des 3 Porsche 911S qui prendront part à ce fabuleux rallye. Mais tout est prêt « just in time », et l’équipe prend la route direction Grenoble pour la grande aventure.

Sur place les pilotes et navigateurs attendent leurs voitures : Henri Pescarolo pilotera la n°43 et sera co-piloté par Yves Thirionet, un des meilleurs navigateurs belges de régularité. La Porsche n°45 sera mise aux commandes de Eric Van de Poele et la luxembourgeoise Maggy Parries (chroniqueuse chez www.automobilsport.com) , et l’équipage de la Porsche n°44 se composera de l’allemand Dirk Adorf et le navigateur autrichien Heinz Swoboda (qui dirige le webzine Classic Driver Österreich).

Le neige et glace, une très belle aventure remplie de passion.

Automag est en route aussi pour suivre l’évolution des 3 voitures rouges de l’Ecurie Racing Old.
Arrivé à Voreppe, une petite ville bien sympathique qui accueillera les voitures et leurs équipages durant cette semaine de février, nous nous dirigeons vers le pc course. Une feuille accrochée au mur avec une liste de pénalités attire mon attention... quelques équipages ont déjà pris des points de pénalité pour des sièges non conformes (!?) dont nos Porsche 43 et 44 qui écopent de 60 points de pénalité avant d’avoir fait le moindre tour de roue. Les sièges étaient de type baquet, noirs, mais trop modernes ! Je reste songeur, « je ne vois pas bien ce que peut faire comme différence un siège moderne par rapport à un siège ancien dans une course de régularité... » mais bon, le règlement c’est le règlement... c’est bien connu. L’important est de rester concentré sur la première étape.

Première étape en Chartreuse, haute en couleurs.

La voiture la plus ancienne, une Hotchkiss roadster 1935.

Départ de Voreppe, 23 février, on prend quelques cols et 3 secteurs de régularité plus loin nous arrivons à Aix-les-Bains pour le déjeuner.

J’en profite pour prendre la température auprès de Yves Thirionet et Henri Pescarolo.

 Automag : Yves, comment c’est passé cette première portion ?
 Y T : La mise en jambe est bonne, et rien de particulier à signaler. Quelques RT avec des changements de moyennes, mais rien de trop compliqué pour l’instant. Ce sera plus difficile lorsqu’on sera dans la neige pour garder les moyennes, il faudra plus de technique. Mais de toute façon on sait que rien n’est gagné avant la dernière nuit.

 Automag : Des concurrents dangereux pour la victoire finale ?
 Y T : Oui, c’est vrai qu’il y a pas mal de challengers pour la victoire, je pense à Lopes-Lambert qui ont remporté le rallye l’an dernier, ils ont une bonne expérience ici ; Georges Van Oosten qui co-pilote Kiki Bruyns est un navigateur redoutable, mais il y a aussi d’autres équipages français qui sont en lisse.

 Automag : Co-piloter un personnage comme Henri Pescarolo, c’est pas un peu stressant ?
 Y T : En effet, avant d’arriver sur le rallye j’avais une appréhension, la pression était là. C’est clair que je me dois d’être à la hauteur, rester concentré et donner le meilleur. Mais je dois dire que cette « pression » s’est très vite envolée, car Henri m’a tout de suite mis à l’aise, nous avons à peu près le même caractère et dans la voiture tout s’emboîte très bien.

Le parc fermé à Aix, avec les véhicules d’assistance du team Comas, comme à l’époque !

Bien qu’il y ait beaucoup de neige dans la région, le service de voirie a fait un excellent travail de sablage puisque toutes les routes sont dégagées et parfois même sèches ! Bon sang, et tous ces passionnés qui sont venus pour rouler sur la neige... « ne vous inquiétez pas, de la neige vous en aurez » annonce Patrick Zaniroli, et cela se confirmera dès l’après midi sur le mont Revard. La température pointait sous zéro et quelques équipages « pur et durs » roulaient décapotés dans leur Austin Healey, ou autre Morgan. Tout comme André Levet et Christophe Buclin qui forment l’équipage haut-savoyard de la voiture la plus ancienne, une Hotchkiss roadster 1935 ils ont passé le rallye à l’air dans les froidures au milieu des sapins. Chapeau messieurs, quel mérite !

Après la traversée de la Chartreuse, les participants arrivent et se pressent entre une pause café et le départ du secteur de régularité en filant vers Grenoble et Voreppe : l’esprit rallye plane, les histoires et les anecdotes sortent. Les gens applaudissent, il y a du monde sur la route, c’est cela aussi le rallye historique.

Chaque organisation a ses petites particularités, « ici au Neige & Glace, nous avons à faire à une organisation impeccable » me raconte Yves Thirionet. « C’est peut-être un détail mais ici, lors du contrôle administratif, ce sont les membres de l’organisation qui s’occupent de placer les autocollants des sponsors et numéros de portières sur les voitures, pendant que nous nous occupons uniquement de l’aspect administratif. Tout est placé au bon endroit, on ne se stresse pas avec un autocollant qui se chiffonne ou placé au mauvais endroit. Ce qui nous permet de nous concentrer sur l’essentiel ». Et l’essentiel ce sont les secondes en RT (Régularity Test), les temps sont pris par des boîtiers électroniques très sensibles, donc dès que la voiture est en mouvement le chrono se déclenche... ce qui veut dire qu’il faut être très concentré sur le départ et être synchro entre pilote - co-pilote et... le boîtier. Un exercice qui a rapporté quelques surprises à certains concurrents, car les pénalités pour avance comptent double !

Le couple Suisse Marie-Claude et Charles Firmenich sont les plus réguliers et vainqueurs de la première journée au volant de leur Alpine A110S du Team Comas Historic.

C’est finalement le couple Suisse Marie-Claude et Charles Firmenich qui sortent les plus réguliers et vainqueurs de la première journée au volant de leur Alpine A110S du Team Comas Historic, devant Alain Lopes et Joseph Lambert sur Porsche 911 Carrera, la troisième place revient aux Suisses Sandro et Franca Cavallero avec leur Porsche 911S Targa.

Les Porsche de l’écurie Racing Old pointent respectivement à la 25è place pour Van de Poele-Parries, 26è place pour Pescarolo-Thirionnet, et 53è pour Adorf-Swoboda. Notons tout de même que l’écart des premiers n’est que très faible, et que si l’on fait abstraction des 60 points de pénalité Henri Pescarolo et Yves Thirionet font le deuxième temps juste devant Lopes-Lambert. Preuve que l’osmose entre l’équipage de la Porsche n°43 est parfaite.

Les résultats de la première étape (23/2/2005)

Deuxième étape : Voreppe-Chichilianne-Voreppe, solide journée et nocturne pour grands enfants.

Une longue journée au programme ce 24 février, pas moins de 369 km attendent les concurrents et cerise sur le gâteau : on termine par une spéciale sur circuit fermé sur la neige.

Jean-Claude Mathoul, s’occupe de l’assistance d’une dizaine de voitures belges. "ça les rassure de savoir que nous sommes derrière".

La matinée se déroule avec 3 secteurs de régularité, qui ne porteront pas chance à nos équipages favori. En effet les routes sont très étroites, la Porsche n°43 de Pescarolo-Thirionet se trouvera bloquée en pleine RT par un riverain. « Je me trouvais à l’arrêt complet » explique Henri Pescarolo, « je ne pouvais rien faire pour passer, c’était trop étroit », rattraper le retard était mission impossible mais Henri fera le maximum, et la Porsche n°43 prendra 13 secondes de pénalité.

Plus loin, c’est la Porsche n°45 d’ Eric Van de Poele et Maggy Parries qui prendra du retard suite à un accrochage avec un camion ! Eric nous explique qu’il monte un petit col lorsqu’à la sortie d’un virage il se trouve nez à nez avec un camion qui descend, la route trop étroite ne lui laisse pas la possibilité de l’éviter et le camion s’arrête juste... 1 mètre trop loin. Résultat : un capot et une aile pliés, et beaucoup trop de retard. Dommage, c’est un « fait de course » dirons-nous, mais bon on s’en passerait bien tout de même. Comme quoi, en régularité il y a un facteur « chance » qui prend parfois une place importante.

Eric Van de Poele rentre à Chichilianne après sa rencontre avec un camion !

La pause déjeuner se fait à Chichilianne, l’équipe organisatrice fait des prouesses pour caser toutes les voitures dans le bon ordre sur le parking prévu. Le repas se fait en toute convivialité, et les débats vont bon train... Tiens, voilà Claude Dubois qui vient s’installer à côté de moi. Claude participe avec une Triumph TR3, la voiture de ses débuts en compétition automobile, « c’est un retour aux sources » me raconte t-il, « on s’amuse très fort, hein Camille ! » lance t-il à son co-équipier Camille Liénart un bon vivant bruxellois.

Claude Dubois et sa TR3B : "on s’amuse très fort !"

Après les paysages magnifiques et enneigés du Col de La Menée et Grimone, les concurrents ont terminé, cette journée bien remplie, par une épreuve de régularité de nuit sur le circuit de glace de Chamrousse. Juste avant cette dernière RT, on se régale d’une bonne tartiflette à l’auberge de l’Hermitage au beau milieu des pistes de ski. Quelle ambiance mes amis, là je rencontre Alain Lopes et Joseph Lambert qui me paraît détendu mais songeur. Ils ne le savent pas encore, mais ils viennent de prendre la tête du rallye.

Alain Lopes avait sorti la Carrera pour cette fois.

 Automag : Joseph comment ça se passe pour vous ?
 J L : ça va assez bien, on vient tout de même de se prendre 5 secondes en RT parce qu’on est resté bloqué par une Clio sur la route, mais bon ça fait partie de la course.

 Automag : Alain Lopes, l’an dernier vous étiez venu en Mini et cette année en Porsche, ce n’est pas un choix contraire ?
 A L : Oui, l’an dernier nous avons remporté le Neige & Glace avec la Mini Cooper, cette année j’avais un peu envie de tester le comportement de la Porsche, mais c’est vrai que la Mini est la meilleure voiture sur la neige. Le problème c’est qu’on ne trouve plus facilement des pneus cloutés pour des roues de 12’’ et encore moins en 10’’.

Quant à Georges Van Oosten, il me dit que ce n’est pas si facile de passer à zéro dans les RT sur la neige. A propos, mais ou sont donc nos compères de la Porsche n°43 ? Ah je vois Yves qui vient d’arriver à l’auberge, je vais aux nouvelles.

 Automag : Yves, vous êtes en retard, que s’est-il passé ?
 Y T : Oui, nous avions le bon tempo, les RT dans la neige étaient toutes bonnes, Henri assurait impeccablement, et puis quelques kilomètres après la dernière RT nous avons eu une panne de pompe à essence. Il a fallu attendre l’assistance, l’équipe de Racing Old a été très efficace, ils ont rapidement remplacé la pompe à essence, et c’était reparti.

Dérapages contrôlés pour Eric Van de Poele sur le circuit de Chamrousse.

La neige tombe finement, et les concurrents se préparent pour la dernière RT de la journée, celle du circuit de glace de Chamrousse. Les pilotes ont pu s’en donner à coeur joie et enchaînaient leurs cinq tours de circuit avec des dérapages incontrôlés pour certains ou très contrôlés pour d’autres comme Eric Comas, Patrick Peter, Henri Pescarolo, et Eric Van de Poele pour qui l’accrochage avec le camion de ce matin n’a pas eu de conséquences sur sa fougue de pilotage. A la sortie du circuit de larges sourires de satisfaction pouvaient se lire sur les visages, si il n’y avait pas toujours de la neige sur les routes, ici c’était fantastique !

Les résultats de la 2ème journée se soldent par une 1ère place de Lopes-Lambert, la 2ème place va à la Porsche 914/6 de Jean-Louis Royer et Philippe Bernard, et Jean-André Collard et Paul Libens se positionnent à la 3ème place avec la petite Lotus Elan. Le couple Firmenich, qui était en tête le premier jour, descend vers la 5è place, quant à Pescarolo-Thirionet suite à leurs déboires il se positionnent en 15è place. Adorf-Swoboda se placent en 33è place et Van de Poele-Parries juste derrière en 34è place.

Attention, rien n’est joué, il reste une dernière étape décisive.

Les résultats de la deuxième étape (24/2/2005)

Ballet de Porsche dans les cols du Vercors, avec Pescarolo et Van de Poele.

Boucle 3 : Voreppe-La Chapelle-en-Vercors-Voreppe

Vendredi 25 février, le Vercors comme juge de paix.

Belle journée que cette ultime étape : solide, plafond très bleu, sol très blanc ... tous les ingrédients étaient réunis pour cette dernière journée passée essentiellement sur le plateau. Les cols de Carri, la Machine, Lachau et le fameux Col de l’Echarasson.

Lopes-Lambert avaient pris la tête du général jeudi soir et puis ... voilà, le Grand prix du Vercors n’exclut pas les rencontre importunes. Pour les Belges ce fut un tracteur qui les bloqua pendant sept minutes et la victoire s’envole, puisqu’ils terminent 13 ème.

Les belges Patrick Van Heurck & Damien de Herlez de Deulin sur une Austin Healey MKII remportent le Trophée du Neige & Glace 2005 !

Le malheur des uns fait toujours le bonheur des autres, et c’est un autre équipage belge, Patrick Van Heurck & Damien de Herlez de Deulin sur une Austin Healey MKII qui réalisant la performance parfaite, à la seconde près sur les deux derniers secteurs, s’offrait à sa grand surprise, le Trophée du Neige & Glace 2005, devant Jean-Michel Martin & Vincent Raiken et les français Jean-Louis Royer & Philippe Bernard. Henri Pescarolo & Yves Thirionet, qui entre temps se sont sérieusement piqué au jeu terminent 7ème, une très belle place compte tenu des problèmes rencontrés (pénalité sièges, blocage riverain, panne de pompe à essence).

Pescarolo-Thirionet au CH avec la Porsche 911S du team Racing Old.

La Porsche 911S n°43 de Racing Old vient de rentrer, et j’en profite pour récolter les impressions...

 Automag : Henri Pescarolo, ceci est votre 2ème participation au Neige & Glace Historique, c’est pour vous une détente ou un réel challenge ?
 H P : Je suis venu ici en compagnie de Yves Thirionet, qui est le meilleur navigateur dans cette spécialité, et nous avions tous les deux pour but d’essayer de gagner cette épreuve. De plus c’est toujours agréable de retrouver l’ambiance conviviale de l’équipe Zaniroli.

 Automag : vous avez apprécié le comportement de la Porsche 911S sur la neige ?
 H P : La Porsche est une voiture qui sous-vire très fort, ça peut parfois poser un problème, mais quand il y a de la neige et qu’il faut y aller, alors là ça me plaît énormément. Il faut aller vite et essayer de garder l’auto sur la route, et en glisse. Là c’est très gai ! Cela n’a évidemment rien de comparable avec le « Neige & Glace d’avant », rien sinon les spéciales sur la neige. La régularité ne sera pas une seconde carrière pour moi, mais c’est avec plaisir que je reviendrai pour l’ambiance et pour gagner.

Le classement final (25/2/2005)

Sur le chemin du retour, pendant que ma passagère s’assoupissait lentement sur le siège de droite, les images des voitures glissant sur les routes enneigées me revenaient à l’esprit ... quelle aventure tout de même, il faut que je note le rendez-vous en février 2006 pour la 52ème Edition du Critérium Neige et Glace.

La P1800 de "Simon Templar", heu non, des français Prouteau-Richard. Vous avez remarqué l’équipement "neige" ?
Une semaine de rallye au grand air en Austin Healey, il faut le faire !
Quelques instants pour souffler au Contrôle Horaire.
On pense déjà à la prochaine édition ...
Daniel & Martine Vercamer avec leur très belle Alfa Roméo GTA 1600.
Les français Gedon-Hillmeyer et la berlinette A110.
Les anglais Richard et Elisabeth Brown participaient avec une MGA coupé.
La Cooper S à l’aise sur la neige, au volant : Roland de Bargigli et Jo Quartier.
Une superbe Alfa Roméo Sprint GT de Mussa-Sargnac dans le col de la Menée.
56 ans, c’est l’âge de cette Volvo PV 444 engagée par Eric Van Sande et Jan Goris.
Comment voulez-vous résister à une telle invitation ? A l’année prochaine pour le 52è Neige & Glace !

Le Neige & Glace 52ème édition, ce sera en février 2006 et vous trouverez toutes les infos sur www.zaniroli.com

Vos commentaires

  • Le 5 mai 2005 à 18:36, par natalia En réponse à : > Neige & Glace, et le mythe continue !

    Je viens de decouvrir sur ce site le nom de quelqu’un que je connais. Paul Libens. Pourriez-vous m’envoyer son adresse electronique je vous prie, ou autre moyen de contact (tel, adresse ?)
    Je vous remercie de me repondre

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