...la suite de l’aventure RALLYE DE MONTE CARLO 2004.

Daniel Pigeolet    2004-02-24 00:00:00   

Dans le baquet de droite ...


Si vous avez raté le début :
 Comment participer au Monte Carlo Historique
 7ème Rallye Monte Carlo Historique

Vendredi 30/01 :

Après une dernière semaine de préparatifs, 14h00, Eric vient me chercher à Ciney et la route nous attend. 16h30, Reims, Parc des Expositions, nous sommes dans les tous 1ers arrivés avec les Danois et les Norvégiens (pourtant, départ de Copenhague ???). Dans un anglais "châtié", ils nous expliqueront qu’il est plus relax pour eux de partir de France et de profiter de la région champenoise.

A 16h15, nous sommes à temps sur le podium , digne du championnat du monde WRC.

Nous profitons de l’invitation (payante) de l’Automobile Club de Champagne, qui nous accueille dès vendredi soir, pour des retrouvailles très sympathiques au Novotel, avec déjà un repas des grandes occasions (champagne évidemment). Les Belges montrent déjà leur bonne humeur et leur sens de la fête.

Samedi 31/01 :

Lever à 07h00. Aie, aie, aie !!! mal aux cheveux, nous avons trop fait le fête. 09h00, contrôle technique très sommaire et 1ère constatation : les voitures de pointe sont équipées en matériel de navigation digne d’un Boeing 747. Nous avons l’air de débutants avec notre Rétro-trip.

L’ambiance est extraordinaire, avec la rencontre de nombreux Belges venus saluer les...Belges et voir des autos fantastiques.

12h00, nous déjeunons dans le hall avec quelques équipes belges et avec nos amis français de l’Alpine Club de Champagne.

14h00, nous gagnons le parc fermé dans le centre de Reims et 1ère galère, nous nous perdons grâce (?) à un road-book imprécis. La foule est omniprésente.

14h30, champagne offert par la Municipalité (on guérit le mal par le mal), dans les salons superbes de l’Hôtel de Ville. Comme il fait mauvais dehors, nous avons le temps, puisque d’après le timing reçu, départ de notre voiture, le n° 121, à 17h15. A 16h00, un concurrent français vient me prévenir que les voitures partent déjà. Bizarre !!! Je me rends compte que le départ est avancé d’1 heure. Rien vu, rien compris. Ca commence fort, panique à bord. Au revoir en 6è vitesse + overdrive aux femmes, enfants, parents, amis, chiens et chats. Ouf, à 16h15, nous sommes à temps sur le podium , digne du championnat du monde WRC. Une foule incroyable de spectateurs assistent aux départs et nous avons difficile de saluer nos supporters. Départ pour une longue nuit sans dormir.
Un fléché imprécis, mais utile, nous est offert l’ACC et nous évite de plonger dans les cartes jusque Langres.

1er constat, nous avons de nombreux spectateurs sympas et enthousiastes, toute la nuit, jusque dans les plus petits villages traversés. Absolument fantastique et unique. En Belgique, les applaudissements et saluts sont remplacés par des poings levés et lancers de pierres.

C.P. à Vitry le François-17h30 : place comble, un speaker nous présente, nous recevons déjà à manger, à boire et une écharpe siglée Rallye de Monte Carlo 2004.

C.P. à Avirey-Lingey-19h30 : surprise, toujours autant de monde, nous sommes au siège des Champagnes Montaudon : un verre de champagne, à manger et une bouteille de champ pour la route.

C.H. à Langres-21h30 : foule, speaker, cadeaux et buffet froid ... cela devient lourd, tellement on mange.

La nuit est impeccable, il ne pleut plus et le temps est assez doux. Nous roulons de concert avec la Saab et la Volvo des 2 équipages norvégiens féminins, que nous remettrons souvent sur la bonne route..

CP de Pesmes - CH à Dôle - CP de Cluny - CH à Roanne où les participants de Copenhague nous rejoignent - CP d’Ambert - CH au Puy en Velais où les concurrents partis de Turin convergent - Etalonnage - et enfin Vals les Bains après une nuit sommes toute calme fait fatigante (870 km). Au fur et à mesure que la nuit avançait, le manque de sommeil se faisait sentir et les routes de + en + sinueuses. Les arrêts et les animations des automobiles clubs locaux super sympas nous ont beaucoup aidés à tenir les yeux ouverts (il vaut mieux quand on conduit).

Dimanche 01/02 Vals les Bains :

Le parc fermé est plein de boue et tout à fait désorganisé.

Le temps d’avaler un café et un ½ croissant, nous repartons à l’assaut des 4 étapes de régularité (ER) tracées en Ardèche. Heureusement que nous avons chaussé les clous, car même la liaison vers Burzet est pleine de verglas

Nous partons à l’assaut des 4 étapes de régularité tracées en Ardèche. Heureusement que nous avons chaussé les clous, car même la liaison vers Burzet est pleine de verglas.

1ère ER-31 km-moyenne 48,300 km/h-Burzet - St Bonnet le Froid.

Alea jacta est, nous y sommes, c’est ici que l’on va voir ce que nous valons. Si la carte est bien tracée, pas question de se tromper, car il n’y a pas de routes adjacentes et la foule omniprésente nous met sur le bon chemin. Du soleil, de la neige, de la glace, conditions piégeuses, une route propre et 2 prises de temps : bilan catastrophe. La BMW glisse sur la neige, la motricité est faible et nous sommes en retard.
Arrivée à St Bonnet. Entrée du village, de la neige et des centaines de voitures. Tiens !!! il doit y avoir des pistes de ski de fond. Mais non. C’est le "bordel". Les participants qui se suivent de 30 en 30 secondes, doivent se glisser dans la circulation , dans des rues très étroites. Il faut se battre et faire l’agent de police soi-même pour accéder à la zone de pointage. Les commissaires ne sont pas agréables et dépassés par les événements. Et nous avons le n° 121. Je plains les derniers concurrents.

2è ER-26 km-moyenne 48,900 km/h-St Bonnet - St Bonnet.

C’est plus roulant et peu enneigé. Nous pensons être bien aux prises de temps. Nous entrons dans la course.

Lalouvesc :
Regroup de 40 minutes et c’est toujours le même b..., malgré une très grande place pour nous accueillir. Un café imbuvable nous est servi et seulement 15’ d’arrêt. L’énervement gagne la parc.

3è ER-25 km-moyenne 49,300 km/h-Lalouvesc - Desaignes.

Roulante, sur le sec ou le mouillé. Nous sommes bien, pas de problèmes. Liaison très difficiles avec CP à Ollières et CH à St Pierreville. Heureusement, l’assistance du Dinant Classic Club est là et nous pouvons nous sustenter un peu. Au menu : côtes d’agneau et vin rouge que nous finirons de manger sur le capot arrière de la BMW pour cause d’embouteillage.

4è ER-32 km-moyenne 47,900 km/h-St Pierreville - Antraigues.

Neige dans les parties à l’ombre, nombreux pièges, routes sinueuses. Ici, il faut y aller pour faire un temps. Le passage dans St Julien du Gua est très difficile. Soudain, dans la montée du col de la Fayolle, catastrophe : t° d’eau dans le rouge, une durit a sauté. On s’arrête pour constater les dégâts. Chance, en recoupant le caoutchouc malade, on peut réparer, mais nous manquons d’eau. Un spectateur surgit avec 5 litres d’eau et ouf ! !!! nous pouvons repartir, mais avec la crainte pour le joint de culasse réputé fragile sur cette voiture. Nous ne remercierons jamais assez cette personne surgie de je ne sais où.

Du soleil, de la neige, de la glace, conditions piégeuses, une route propre et 2 prises de temps : bilan catastrophe. La BMW glisse sur la neige, la motricité est faible et nous sommes en retard.

Arrivée à Antraigues où la famille Jouany nous reçoit devant La Remise : tarte et alcool. Si vous passer dans le coin, arrêtez-vous. L’accueil est extraordinaire et le resto du Monte Carlo et des fanas et pilotes Alpine.
Nous ne pensons plus qu’ à rentrer à Vals, faire l’assistance et voir notre classement.

Nos temps ? La déception est énorme, bien que nos prétentions au départ aient toujours été très modestes :

 ER 1 : 750 pts de pénalité soit 75’’ 184è
 ER 2 : 140 pts 14’’ 137è
 ER 3 : 81 pts 8’’ 87è
 ER 4 : 6066 pts 10’ 284è
 Au général : 236è

Après un repas homérique dans un petit resto d’Antraigues avec nos amis du Dinant Classic Club, dodo. Nous en avons bien besoin car nous sommes debout depuis samedi 06h30 et nous sommes dimanche 23h30.

Lundi 02/02

Vals se lève avec le soleil, mais il a bien gelé la nuit. Il faut gratter le pare-brise. La nuit ayant porté conseil, nous décidons d’attaquer et de remonter au classement très rapidement. Notre inexpérience du Monte, nous prouvera le contraire. Mais, revenons à nos moutons.

Longue liaison via Valence et St Jean en Royans pour le départ de la :

5è ER-21 km-moyenne 49,500 km/h-St Jean - La Cime du Mas.

Nous sommes dans les Alpes, la route est plus sinueuse et pentue, mais sèche, hormis le col de l’Echarasson, plein de neige. Superbe. Nous achèverons le rallye avec les pneus neiges non cloutés. Le départ ayant été donné de Vals de 30 en 30 ’’ et dans l’ordre du classement provisoire, nous serons doublés par les pilotes qui ne respectent pas les moyennes, mais jouent le scratch. Nous verrons des Berlinettes Alpine, Aston Martin, Ferrari, Lancia Stratos, BMW 2002 turbo, Porsche Carrera RS...nous doubler. Impressionnant.

Bilan : 396 points et 180è.

6è ER-20 km-moyenne 49,700 km/h-St Nazaire le Désert - La motte Chalancon.

Sec, sinueux. Rien à signaler. J’ai même le temps d’admirer le paysage enneigé, sous le soleil.
109 points, 123è.

7è ER- 23 km-moyenne 49,200 km/h-Rosans - l’Epine.

Au 2è col, les amortisseurs surchauffés, réagissent comme des pompes à vélo...

Encore plus sinueux et 3 cols à franchir. C’est ici que nous comprendrons que notre mauvais classement est du en partie au manque de préparation des suspensions de notre voiture. Au 2è cols, les amortisseurs surchauffés, réagissent comme des pompes à vélo. Nous piochons allègrement. Les freins donnent également des signes de fatigue évidents.
272 points, 174è.

8è ER-23 km-moyenne 46,700 km/h- Aspres les Corps - Chauffaye.

Assez difficile et étroite, bien que se déroulant dans une longue vallée. Après la 1ère prise de temps dans le village de St Firmin, très sinueux, nous rencontrons la neige dans les petites rues de l’Ubac. De nombreuses voitures visiteront les murs de neige sans trop de dégâts, d’ailleurs, une borne incendie verte est devenue blanche de ...peur. Mais non, de neige. Je pense que nous sommes bons.

284 points, 159è.

La descente vers Gap sera menée à train très rapide, les liaisons sont aussi sinueuses que les ER. L’entrée dans Gap est super bouchée et la gendarmerie verbalise à qui mieux mieux les concurrents qui doublent dans les files. Certains verront leur permis confisqué.

Un premier classement nous est remis. Vite l’hôtel, douche, manger et discuter de la course.
Zut, nous avons perdu l’assistance, partie à l’opposé de la bonne route. Nous mettrons 2 heures à les retrouver et à monter le dernier col, sous la neige et dans le noir, pour enfin atteindre l’hôtel. Fête avec les amis du DCC et les participants français présents.

Bilan : très déçu par l’organisation de l’Automobile Club de Monaco, nous pouvons même parler de désorganisation aux contrôles horaires. C’est honteux, vu le prix demandé. Avis unanime, même pour les anciens.

Nos résultats : hormis où la route est difficile, neige, montée (puissance un peu juste), sinueuse (amortos d’origine out après 10 km), nous sommes en AVANCE 11 x sur 16 prises de temps. Bizarre, d’autant que d’autres amis belges qui jouent la tête, sont également dans le cas. Nous sommes quand même remontés à la 202è place. 34 places de regagnées.

MARDI 03/02

Départ tôt de Gap, il fait beau, mais glacial. 2 ER au programme de la journée qui sera somme toute fort légère. Sur la liaison très sinueuse vers Seyne les Alpes, nous comprenons notre avance aux flashs chronos : le trip se bloque et notre distance est fortement diminuée par rapport à la réalité. Donc, nous roulons trop vite. Nous allons veiller au grain et agir au "pifomètre".

9è ER-32 km-moyenne 45,400 km/h-Seyne les Alpes - Dignes les Bains.

Début très sinueux, nombreuses épingles en montée et descente sur la glace pendant 10 km

 1ère prise de temps 2" 3/10è en retard, c’est bon.
 2è prise de temps 13"3/10è en avance, zut.
 Bilan : 156 pts et 154è place.

10è ER-St Auban - Pont des Miolans.

Annulée suite à un accident. Un concurrent est sorti trop large d’une courbe : c’est la collision frontale avec un riverain. Heureusement, seul le pilote sera blessé aux jambes (fractures).

Nous rentrons par route libre vers Monaco, via Grasse, par la route Napoléon.

Longtemps, le doute planera sur la continuité du rallye, les bruits les plus alarmistes ayant courus, d’autant plus que la police a déjà bloqué et retardé la spéciale 9.
Il faudrait faire comprendre que nous roulons sur routes ouvertes et que le rallye "scratch" avait lieu une semaine plus tôt avec les voitures WRC.

16h00, arrivée sur le port de Monaco.

Accueil impeccable, remise des cadeaux et parc fermé. Quel cadre, superbe. Nous sommes au c ?ur de la ville, face aux yachts des milliardaires. Une navette est à notre disposition pour nous conduire à l’hôtel L’Hermitage 5*.
Waow !!!!!Quel hôtel !!!!! Mais pas le temps de nous extasier , vite une douche et retour au parc fermé où à 18h00 un buffet est servi aux participants et à leur assistance. Foie gras, potage, saucissons.....

20h00, 1er départ pour l’étape finale Monaco - Monaco et le célèbre Turini.

SAS le Prince Albert de Monaco nous fait l’honneur de donner le départ. Nous sommes très impressionnés devant tant de monde, au milieu des yachts et Bentley, Ferrari avec notre modeste BMW 2002, stricte d’origine.
Ne pouvant plus améliorer notre classement de façon importante (écarts trop important), nous décidons de rallier l’arrivée sans casser l’auto et ainsi accumuler de l’expérience.

21h00, départ et crac, je m’emmêle les pinceaux dans les tunnels de Monaco. Vite retrouver les bon chemin et filer au départ de Peille. Ouf, nous arrivons juste à l’heure.

11è ER-18 km-moyenne 47,600 km/h-Peille - Peille.

Go. 500 mètres plus loin : le brouillard. Nous serons encore plus prudents dans la montée du col de la Madone et au sommet à Ste Agnès, nous avons quand même dépassé plusieurs voitures, dont le père d’Eric Comas (pilote F1). La descente est dingue, très étroite, pleine de trou. 1789 pts, soit +/- 3’ de retard et 173è.

Résultat : 178è avec + de 12000 pts, mais aucune pénalité routière. Nous sommes très contents d’être à l’arrivée, avec une voiture sans une égratignure.

12è ER-32 km-moyenne 49,900 km/h-Sospel - La Bollène.

LE JUGE DE PAIX. Montée vers Moulinet, les épingles du célèbre Turini et descente en épingles vers La Bollène. Nous voyons des touts-droits, des traces de freinage d’urgence et des débris témoins de sorties de route. Heureusement, pas de voitures pour le compte. Les amortisseurs de notre BM sont complètement fichus et mon pilote est fourbu, mais tous les deux se battent pour arriver. 195è BOF !!!

13è ER-20 km-moyenne 48,700 km/h-Lantosque - Lucéram.

Dernier coup e collier. Etape très piégeuse, assez rapide, avec de nombreux virages cachés. Au détour d’un gauche moyen qui resserre, nous tombons nez à nez sur 3 ânes et une chèvre. Ouf, personne n’est touché, il était moins une. Toujours beaucoup de traces sur la route.1565 pts et 212è. Le pilote a vraiment assuré son retour vers le port de Monaco. Il est 03h30 du matin.

Résultats : 178è avec + de 12000 pts, mais aucune pénalité routière. Nous sommes très contents d’être à l’arrivée, avec une voiture sans une égratignure.

MERCREDI 04/02.

Journée libre que nous mettrons à profit pour visiter le parc fermé et enfin admirer et "espionner" les somptueuses voitures de rallye. Jugez par vous même : de la Ferrari 275 GTB à la Citroën 2CV, en passant par les Alpines, Lancia Stratos, Fulvia HF..., il y en a pour tous les goûts. La piscine avec eau de mer de l’hôtel nous accueille et la vue sur le port de la chambre, ô pardon de l’appartement de notre assistance est à couper le souffle (prix normal d’une nuit : 2800,00 ?!!! oui, oui vous avez bien lu).

Une autre BMW 2002, celle de François Stock et Jean-Christophe Goarin, ils termineront 244è.

20h00, remise des prix et souper de gala.

Magnifique salle du Sporting de Monte Carlo où les organisateurs nous y conduisent en bus.
A peine installés, le repas débute et sera liquidé en 1 heure de temps, avec boissons limitées. Cela ne fait rien, nous nous rattraperons largement sur le champagne au dessert. Un film retraçant le Monte Carlo 1954 et 2004 sera projeté sur plusieurs écrans géants et fera l’objet de nombreux applaudissements. La remise des coupes est somptueuse et le podium largement garni de lauréats belges. Nous soulignerons la très belle 4è place au général de Frédéric Beco et Nicolas Gilsoul sur Opel Commodore GSE.

Après les félicitations d’usage, place au spectacle : danseurs et danseuses courtes vêtues, magie et jonglerie et puis, l’orchestre nous invitera à gagner aussi la piste pour une nuit très longue.

Un très court repos, plein de rêves et d’étoiles, puis c’est le retour vers Ciney, 1150 km. Cela nous donnera l’occasion d’un long dé-briefing et de mettre en place une nouvelle stratégie pour atteindre le top 50. Mais, cela est une autre histoire pour 2005 ou 2006 si le budget (très élevé) est réuni.

Merci de nous avoir lu si longtemps et rendez-vous début mars, après le rallye des Ardennes Flamandes, pour la suite de cette nouvelle rubrique "DANS LA BAQUET DE DROITE".

Si vous avez des question, des suggestions, écrivez-moi via le forum ci-dessous, nous y donnerons suite.

Daniel.

 Le classement complet du Monte Carlo Historique 2004.
 A lire aussi : Historique des BMW 02

Vos commentaires

  • Le 19 février 2005 à 16:42, par moustache En réponse à : > ...la suite de l’aventure RALLYE DE MONTE CARLO 2004.

    bonjour les beemistes.
    pouvez vous m’expliquer comment fonctionne les moyennes basses et les moyennes hautes ???
    basses ;de combien à combien(Km/h)
    hautes ;de combien à combien(Km/h)
    quelle option avez vous choisi ?
    quels pneumatiques avez vous utilisé ?
    Combien de fois etes vous passez en reconnaissance ?
    avez vous fait des epreuves à vue, fautes de reconnaissances ?
    merci de ces renseignements.
    ceci en vue de l’historique 2006.reponse assurée.
    claudefabries@lagoon.nc

  • Le 24 novembre 2005 à 11:43, par Daniel Pigeolet En réponse à : > ...la suite de l’aventure RALLYE DE MONTE CARLO 2004.

    Bonjour Moustache,
    C’est avec plaisir que je vous réponds bien tardivement, mais je ne jette pas souvent un oeil sur les vieux articles.
    Pour les moyennes, elles sont décidées chaque année par l’organisateur. Toutefois, la moyenne pivot est souvent 45 km/.
    Nous avons utilisé les pneus neiges sur la glace et la neige, autrement pneus normaux lamellisés.
    J’ai réalisé un road book personnel sur base du parcours fourni par l’organisateur, quelques mois avant le départ. Nombreuses cartes militaires et travail demandant de très nombreuses heures. Nous n’avons pas reconnu un mètre de parcours, donc tout à vue, même dans le brouillard de la dernière nuit.
    Autres questions ? N’hésitez pas.
    Bien à vous.
    Daniel Pigeolet

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